Figure 15 |
Carte de l’archipel arctique montrant les routes types du passage du Nord‑Ouest, superposée à la carte des concentrations médianes des glaces (1971-2000) le 3 septembre, les concentrations des glaces variant de moins de 1/10 à 9+/10. La carte montre une route de navigation possible au sud par le passage du Nord‑Ouest presque viable d’après les concentrations indiquées, qui deviendra plus réelle avec le futur réchauffement. Les concentrations des glaces ont été reproduites avec l’autorisation d’Humfrey Melling, de Pêches et Océans Canada. |
Figure 16 |
Graphique de l’apport annuel de la route d’hiver de Tibbitt à Contwoy et des projets connexes au produit intérieur brut des Territoires du Nord-Ouest (T.N.-O.), du Nunavut et du reste du Canada (de 2001 à 2020). Les Territoires du Nord‑Ouest comptent les plus vastes réseaux de routes d’hiver, le Nunavut en a très peu et le reste du Canada peu. L’apport total moyen était d’environ 1 000 $ avec une augmentation moyenne d’au plus 2 000 $ de 2005 à 2012. |
Figure 18 |
Diagramme illustrant les effets des hivers plus doux et des étés plus chauds et secs à la fin du XXe siècle sur les conditions propices à la survie hivernale de certains insectes, dont le dendroctone de l'épinette qui a terminé son cycle de vie en un an, et au stress hydrique qui a réduit la capacité de l’épinette blanche de résister à l’attaque des insectes. L’effet conjugué de ces facteurs est à l’origine d’une prolifération des populations de dendroctone de l’épinette qui a atteint des niveaux d’infestation dans le sud‑ouest du Yukon et mené à la mortalité généralisée de l’épinette blanche. En conséquence, la structure et la fonction des écosystèmes ont changé, les risques d’incendie se sont accrus et les activités économiques ont été modifiées. Dans l’ensemble, cette situation a eu des effets considérables sur la gestion des forêts, tant sur le plan des fonctions écosystémiques que sur celui de la stabilité et des avantages pour la collectivité. Source de la figure : Ogden, 2006. |
Figure 21 |
Graphique montrant la répartition en pourcentage de 15 espèces pêchées ou chassées au Nunavut entre 1996 et 2001. Ces espèces comprennent des animaux terrestres (p. ex. le caribou, le renard), des oiseaux (p. ex. l’oie des neiges, l’eider) et des poissons (p. ex. l’omble chevalier, le touladi). On retient de cette figure que l’omble chevalier représente 45 % des espèces récoltées, tandis que les 14 autres espèces constituent chacune moins de 10 %. |