Insfrastructure de recharge pour VE ultra rapide de la prochaine génération
Secteur stratégique
Démonstrations d’infrastructures pour véhicules électriques
Statut
Actif
Partenaires
Ministère des Transports du Québec
Fonds
Infrastructures vertes
Année
2018
Contribution du IV
1 264 000 $
Total du projet
3 097 721 $
Lieu
Qc
Pour en savoir plus
Promoteur principal
Hydro Québec
Objectifs du projet
Ce projet a pour but de démontrer la viabilité d’une infrastructure de recharge ultra rapide pour différents types de véhicules électriques (VE) et la rendre opérationnelle pour une vaste clientèle, en assurant une adaptation parfaite aux besoins du marché. En vue d’atteindre cet objectif, on développera dans le cadre du projet des sites urbains et routiers où l’on fera la démonstration d’une infrastructure de recharge pour VE ultra rapide allant de 100 à 350 kW pour comprendre les répercussions sur l’infrastructure de réseau. À l’heure actuelle, des bornes de chargement rapide à 50 kW se trouvent surtout le long des autoroutes en Amérique du Nord.
L’intégration des progrès de la technologie de recharge à haute vitesse, pour le circuit électrique et pour le réseau de distribution d’électricité, permet de faire l’essai des différentes technologies de recharge de plusieurs fabricants dans des conditions réelles. Ce projet reliera les clients du circuit électrique et les fabricants.
Résultats escomptés
Le projet permettra d’installer et de faire l’essai des bornes de recharge à un emplacement à Montréal avec une borne de recharge à 100 kW, 150 kW et 350 kW, et éventuellement d’élargir les essais à deux emplacements supplémentaires, un site dans un immeuble résidentiel à logements multiples (IRLM) et un site le long d’une autoroute principale.
Le chargement ultra rapide réduit le temps de chargement et aborde un obstacle principal à l’adoption plus générale de véhicules électriques. Il est prévu que le projet exercera un changement positif pour le secteur des VE, créera des emplois et accroîtra l’utilisation des VE en général, tout en contribuant à l’émergence d’une économie réelle représentant 40 à 50 p. cent du transport électrique en 2040.
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