Language selection

Recherche


Environnement et climat

Sur cette page

 

Le gel

Premier gel carte du Canada montrant les premières gelées

Canada – Première gelée d’automne

Date de publication : 1981, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 7,72 Mo)

Cette carte montre la date moyenne de la première gelée d’automne. On suppose que la gelée se produit lorsque la température quotidienne minimale est de 0 °C ou moins. Les dates moyennes ont été calculées à partir des normales des températures minimales quotidiennes enregistrées à environ 1 200 stations climatologiques, entre 1941 et 1970.

Dernier gel carte du Canada montrant le dernier gel

Canada – Dernière gelée du printemps

Date de publication : 1981, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 7,85 Mo)

Cette carte montre la date moyenne de la dernière gelée du printemps. On suppose que la gelée se produit lorsque la température quotidienne minimale est de 0 °C ou moins. Les dates moyennes ont été calculées à partir des normales des températures minimales quotidiennes enregistrées à environ 1 200 stations climatologiques, entre 1941 et 1970.

Période sans gel carte du Canada montrant la période sans gel

Canada – Période sans gel

Date de publication : 1981, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 12,62 Mo)

Cette carte montre la durée moyenne de la période sans gel pour toutes les régions du Canada. On suppose que la gelée se produit lorsque la température quotidienne minimale est de 0 °C ou moins. Les dates moyennes ont été calculées à partir des normales des températures minimales quotidiennes enregistrées à 1 200 stations climatologiques, entre 1941 et 1970.

Télécharger les éditions précédentes :

Précipitations

Moyenne annuelle carte du Canada montrant les précipitations totales moyennes annuelles

Précipitations totales moyennes annuelles

Date de publication : 2006, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,81 Mo)

Cette carte montre la moyenne annuelle de précipitations entre 1971 et 2000. Pour la majeure partie des terres continentales du Canada, les précipitations atteignent leur maximum annuel au cours des mois d’été et tombent sous forme de la pluie. Le mois d’octobre marque la transition des journées essentiellement pluvieuses aux journées enneigées pour l’ensemble du nord du Canada.

Moyenne de janvier Carte du Canada montrant les précipitations totales moyennes en janvier

Précipitations totales moyennes de janvier

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,60 Mo)

Cette carte montre la moyenne des précipitations totales pour le mois de janvier entre 1971 et 2000. Les précipitations qui tombent au mois de janvier sont majoritairement sous forme de neige. Sur une bonne partie des terres intérieures et du nord, les quantités de précipitations sont normalement inférieures à 20 mm et, dans l’Extrême-Arctique, elles sont aussi peu que quelques millimètres. La côte ouest reçoit de fortes précipitations sous forme de pluie dans les régions à basse altitude et essentiellement sous forme de neige dans les régions situées à plus haute altitude. Sur la côte est du Canada, la pluie et la neige se mélangent. La pluie domine dans les régions situées à proximité de l’Atlantique et les chutes de neige deviennent plus fréquentes vers le nord-ouest.

Moyenne d’avril Carte du Canada montrant les précipitations totales moyennes en avril

Précipitations totales moyennes d’avril

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,70 Mo)

Cette carte montre la moyenne des précipitations totales pour le mois d’avril entre 1971 et 2000. Le mois d’avril est un transitoire pour une grande partie du sud du Canada, où des chutes de neige sont encore possibles, mais les averses de pluie commencent à dominer le régime des précipitations. Les quantités de précipitations tombées sur l’ensemble de l’intérieur sud du Canada sont sensiblement supérieures à celles reçues en janvier, en raison du réchauffement de la température. Les quantités de pluie le long de la côte ouest de la Colombie-Britannique se situent toujours entre 200 et 300 millimètres, soit quelque peu inférieures aux valeurs de janvier. Dans les provinces de l’Atlantique, les quantités de précipitations sont inférieures à celles du mois de janvier, mais la distribution mensuelle des précipitations ne varie pas autant de façon annuelle que dans les Prairies ou la côte ouest. Dans les régions nordiques du Canada, presque toutes les précipitations tombent encore sous forme de neige.

Moyenne de juillet Carte du Canada montrant les précipitations totales moyennes en juillet

Précipitations totales moyennes de juillet

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,9 Mo)

Cette carte montre la moyenne des précipitations totales pour le mois de juillet entre 1971 et 2000. Dans les terres continentales intérieures du Canada, les précipitations atteignent leur maximum annuel au cours des mois d’été et tombent sous forme de pluie. Dans les Prairies, les précipitations mensuelles sont habituellement à leur maximum au cours des mois de juin ou juillet, mais pour les latitudes plus au nord ainsi que pour l’Ontario et le Québec, celles-ci ont plutôt lieu en août. Sur les côtes ouest et est, l’été constitue la période la plus sèche de l’année. Dans l’archipel Arctique, les averses de pluie ont tendance à dominer, mais les chutes de neige sont encore importantes et celles-ci apparaissent à tout moment au cours de l’été.

Moyenne d’octobre Carte du Canada montrant les précipitations totales moyennes en octobre

Précipitations totales moyennes d’octobre

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,7 Mo)

Cette carte montre la moyenne des précipitations totales pour le mois d’octobre entre 1971 et 2000. Le mois d’octobre marque la transition entre la pluie et les chutes de neige pour tout le Nord canadien. Les chutes de neige surviennent également dans la majeure partie des terres intérieures du sud du Canada, mais elles sont relativement faibles et, par conséquent, fondent habituellement rapidement. Le mois d’octobre témoigne aussi de la transition à la saison des pluies dans la partie méridionale de la côte ouest de la Colombie-Britannique.

Télécharger les éditions précédentes :

Couverture neigeuse

Date de début de la couverture neigeuse continue Carte du Canada indiquant la date médiane du début de la couverture neigeuse continue

Date médiane d’apparition de la couverture neigeuse continue

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,28 Mo)

Cette carte indique la date médiane de l’apparition de la couverture neigeuse (définie comme étant la première journée de 14 jours consécutifs de couverture neigeuse supérieure ou égale à 2 centimètres d’épaisseur) calculée pour 18 périodes d’accumulation (de 1979 à 1997). Dans les régions où la couverture neigeuse est permanente ou semi-permanente (par exemple, les calottes glaciaires de l’Arctique) ou dans les régions où la couverture neigeuse est irrégulière ou éphémère (le littoral de la Colombie-Britannique), les chercheurs n’ont pas pu calculer les valeurs médianes. La principale caractéristique de la carte constitue l’expansion rapide vers le sud de la couverture neigeuse au Canada entre septembre et décembre. L’influence modératrice de la baie d’Hudson est observable dans le nord du Québec, où la couverture neigeuse commence plus tard que dans les latitudes équivalentes à l’ouest de la baie d’Hudson. La date d’apparition de la couverture neigeuse a des répercussions importantes pour les animaux qui dépendent de celle-ci pour s’abriter, et exerce des influences climatiques sur les températures de l’air, la congélation du sol et la formation de glace lacustre.

Date de fonte de la couverture neigeuse continue Carte du Canada indiquant la date médiane du début de la couverture neigeuse continue

Date médiane de fonte de la couverture neigeuse continue

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,32 Mo)

Cette carte indique la date médiane de la fonte de la couverture neigeuse (définie comme étant la dernière journée de 14 jours consécutifs de couverture neigeuse supérieure ou égale à 2 centimètres d’épaisseur) calculée pour 18 périodes d’accumulation (de 1979 à 1997). Dans les régions où la couverture neigeuse est permanente ou semi-permanente (par exemple, les calottes glaciaires de l’Arctique) ou dans les régions où la couverture neigeuse est irrégulière ou éphémère (le littoral de la Colombie-Britannique), les chercheurs n’ont pas pu calculer les valeurs médianes. Les isolignes de la date de fonte suivent mieux la topographie que celles de la date d’apparition de la couverture neigeuse puisque l’altitude a une influence sur l’accumulation totale de neige et la température de l’air. La date de la fonte de la couverture neigeuse a des répercussions importantes sur la faune (par exemple, la migration et la nidification des oiseaux), la végétation, le climat local et l’hydrologie.

Moyenne d’épaisseur de neige Carte du Canada montrant l'épaisseur maximale moyenne de la neige

Moyenne maximale d’épaisseur de neige

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,86 Mo)

Cette carte présente la moyenne maximale d’épaisseur de neige en centimètres calculée sur 18 saisons hivernales (de 1979 à 1997). Dans le Canada méridional, cela se produit habituellement en janvier ou en février, tandis que l’accumulation maximale se produit beaucoup plus tard dans les régions montagneuses et dans l’Arctique. Les principales caractéristiques de la carte sont l’importance de l’accumulation maximale de neige enregistrée dans la Cordillère occidentale, où les épaisseurs de neige peuvent dépasser plusieurs mètres, et un maximum secondaire pour le Québec et le Labrador. Ces maxima sont reliés à la proximité de l’océan, qui fournit un apport en humidité et engendre des tempêtes hivernales, ainsi qu’à l’effet orographique que créent les montagnes comme c’est le cas dans l’Ouest canadien.

Télécharger les éditions précédentes :

Couverture neigeuse, 3e édition, 1958 (PDF, 1,25 Mo)

Température

Températures maximales quotidiennes

Moyenne de janvier carte du Canada montrant les températures maximales quotidiennes moyennes en janvier

Températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois de janvier

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 3,92 Mo)

Cette carte montre les températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois de janvier, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Un ensoleillement insuffisant ou inexistant signifie que la variation diurne entre la température maximale et la température minimale en janvier est minime. Le Grand Nord demeure sous une emprise glaciale, avec des températures maximales atteignant environ -30 °C ou plus froides dans certaines parties du Nunavut. Les températures maximales sont normalement inférieures à -10 °C pour les régions situées à l’intérieur du Canada. La température maximale s’approche du point de fusion pour l’ensemble du sud de l’Ontario et certaines régions des provinces de l’Atlantique. Les températures maximales supérieures au point de congélation ne sont observées que dans les régions côtières de la Colombie-Britannique et dans la partie extrême sud de la Nouvelle-Écosse.

Moyenne d’avril Carte du Canada montrant les températures maximales quotidiennes moyennes en avril

Températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois d’avril

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 6,34 Mo)

Cette carte montre les températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois d’avril, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Les températures maximales inférieures au point de congélation en avril sont ressenties qu’au nord du Canada et dans les régions nordiques de l’Ontario et du Québec, adjacentes à la baie d’Hudson. L’allongement des jours et le prolongement de l’ensoleillement adoucissent les températures de toutes les régions du pays. Dans l’Extrême-Arctique, les températures maximales se situent entre -15 °C et -30 °C, ce qui veut dire que l’hiver y est présent même lorsque les conditions printanières s’amènent sur l’ensemble des régions méridionales du Canada.

Moyenne de juillet carte du Canada montrant les températures maximales quotidiennes moyennes en juillet

Températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois de juillet

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,95 Mo)

Cette carte montre les températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois de juillet, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Les températures maximales en juillet se situent au-dessus du point de congélation partout au Canada, à l’exception des régions plus élevées de l’île Ellesmere. Les températures maximales dépassent 25 °C dans le fond des vallées méridionales de la Colombie-Britannique, sur l’ensemble du sud des Prairies et de l’Ontario, le long de la vallée du Saint-Laurent allant presque aussi loin que la ville de Québec, et dans certaines régions du centre du Nouveau-Brunswick. Les températures maximales le long des régions côtières du Canada atlantique et de la Colombie-Britannique sont atténuées par la présence des océans, mais même à ces endroits, les températures maximales équivalentes à 20 °C sont plus fréquentes.

Moyenne d’octobre Carte du Canada montrant les températures maximales quotidiennes moyennes en octobre

Températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois d’octobre

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,73 Mo)

Cette carte montre les températures maximales quotidiennes moyennes pour le mois d’octobre, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. La majeure partie du territoire méridional du Canada connaît des températures maximales en octobre qui sont supérieures à 10 °C, alors que les températures maximales pour la quasi-totalité de l’ensemble des territoires nordiques se situent en dessous de zéro. Seules les régions méridionales du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest connaissent des températures maximales en octobre qui sont supérieures à 0 °C.

Températures minimales quotidiennes

Moyenne de janvier carte du Canada montrant les températures minimales quotidiennes moyennes de janvier

Températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois de janvier

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 3,78 Mo)

Cette carte montre les températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois de janvier, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Le mois de janvier marque le plus fort de l’hiver au Canada et, à l’exception des régions côtières du sud de l’île de Vancouver, les températures minimales inférieures au point de congélation sont la norme. Le froid polaire est particulièrement manifeste près du lac Baker, au Nunavut, et dans une grande partie de l’archipel Arctique, où les températures minimales normales de janvier se situent en moyenne entre -30 °C et -40 °C. La faible inclinaison solaire signifie que la majorité des autres régions du Canada connaissent des températures minimales inférieures à -15 °C.

Moyenne d’avril Carte du Canada montrant les températures minimales quotidiennes moyennes d'avril

Températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois d’avril

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,71 Mo)

Cette carte montre les températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois d’avril, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Les températures minimales en avril se situent en dessous du point de congélation pour la plupart des régions du pays. Seules les régions à l’extrême sud de l’Ontario et de la Nouvelle-Écosse et la côte de la Colombie-Britannique connaissent des températures minimales normales supérieures au point de congélation. Les valeurs d’avril indiquent qu’il y a eu un réchauffement majeur pour toutes les régions du sud du Canada, malgré les conditions hivernales qui dominent toujours le Nord.

Moyenne de juillet carte du Canada montrant les températures minimales quotidiennes moyennes en juillet

Températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois de juillet

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,60 Mo)

Cette carte montre les températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois de juillet, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. Les températures minimales inférieures au point de congélation en juillet sont courantes seulement pour les régions plus élevées des îles d’Ellesmere et de Baffin dans le nord-est du Canada. La majorité des régions méridionales du Canada connaissent des températures minimales supérieure à 10 °C en juillet. De toute évidence, les régions plus élevées de la Cordillère sont soumises à des températures minimales plus froides. Les températures minimales en juillet sont supérieures à 15 °C le long des côtes nordiques des lacs Érié et Ontario et le long de la vallée du Saint-Laurent jusqu’à Montréal.

Moyenne d’octobre carte du Canada montrant les températures minimales quotidiennes moyennes d'octobre

Moyenne des températures quotidiennes minimales d’octobre

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,43 Mo)

Cette carte montre les températures minimales quotidiennes moyennes pour le mois d’octobre, calculées à l’aide des normales de température de 1971 à 2000. En octobre, des nuits plus longues et un retour aux températures minimales en dessous de zéro sont courantes dans la plupart des régions du Canada, à l’exception de la zone côtière de la Colombie-Britannique, du sud de l’Ontario et du Québec, et la majorité des provinces de l’Atlantique. Des températures minimales normales inférieures à -10 °C ou plus froides en octobre sont courantes pour la majeure partie du Nunavut, le delta du Mackenzie et le nord du Yukon.

Télécharger les éditions précédentes :

Rayonnement solaire

Rayonnement solaire – annuel carte du Canada montrant le rayonnement solaire annuel

Canada, Rayonnement solaire – annuel

Date de publication : 1984, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 1,95 Mo)

La 5e édition (1995) de l’Atlas du Canada contient deux cartes sur le rayonnement solaire. La première carte montre le rayonnement solaire et sa variabilité sur un plan horizontal. La deuxième carte représente le rayonnement solaire sur des plans inclinés.

Avril et octobre carte du Canada montrant le rayonnement solaire d'avril et d'octobre

Canada, Rayonnement solaire – avril et octobre

Date de publication : 1984, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 3,78 Mo)

La 5e édition (1995) de l’Atlas du Canada contient quatre cartes à la même échelle (1/12 500 000) qui indiquent le rayonnement solaire à l’aide de 26 teintes différentes. Pour avril, puis pour octobre, une carte représente le rayonnement solaire et sa variabilité sur un plan horizontal, tandis qu’une autre représente le rayonnement solaire sur des plans inclinés.

Décembre et juin carte du Canada montrant le rayonnement solaire de décembre et juin

Canada, Rayonnement solaire – décembre et juin

Date de publication : 1984, 5e édition

Télécharger la carte (PDF, 4,40 Mo)

La 5e édition (1978 à 1995) de l’Atlas du Canada contient quatre cartes à la même échelle (1/12 500 000) qui indiquent le rayonnement solaire à l’aide de 26 teintes différentes. Pour décembre, puis pour juin, une carte représente le rayonnement solaire et sa variabilité sur un plan horizontal, tandis qu’une autre représente le rayonnement solaire sur des plans inclinés.

Écozones

Écozones terrestres carte du Canada montrant les écozones terrestres

Écozones terrestres

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,18 Mo)

Cette carte représente les 15 écozones terrestres qui constituent la classification hiérarchique des écosystèmes au Canada. En termes simples, il y existe vingt écozones, quinze terrestres et cinq marines. Une écozone est un secteur de la surface terrestre qui représente une vaste zone écologique et qui se caractérise par son relief et son climat. Les écozones se distinguent entre elles par la mosaïque de plantes et d’espèces sauvages qu’elles renferment, ainsi que par leur climat, leur relief et les activités humaines qui s’y déroulent. Les écozones se prêtent facilement à la préparation de rapports généraux à l’échelle nationale et servent à situer la diversité des écosystèmes du Canada dans un contexte nord-américain ou planétaire.

Écozones forestières carte du Canada montrant les écozones forestières

Écozones forestières

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,41 Mo)

Cette carte représente les écozones qui ont une certaine couverture forestière. Au Canada, on compte vingt écozones, soit 15 unités terrestres et 5 unités marines. La végétation qu’on y retrouve varie d’une écozone à l’autre. Les forêts recouvrent partiellement ou en totalité neuf écozones : maritime du Pacifique, Cordillère montagnarde, Cordillère boréale, Taïga des plaines, Plaines boréales, Prairies, Bouclier boréal, Plaines à forêts mixtes et maritime de l’Atlantique.

Terres humides

carte du Canada montrant la diversité des terres humides

Composantes d’un écosystème : Diversité des terres humides

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,46 Mo)

Cette carte indique le pourcentage des écorégions recouvertes de terres humides. Les milieux humides se caractérisent par leur degré de saturation en eau. Ces milieux occupent près de 18 % de la superficie du Canada, qui renferme environ 25 % des milieux humides du monde. Les conditions ambiantes de ces milieux favorisent la croissance d’hydrophytes et d’autres activités biologiques telles que la subsistance d’un grand nombre d’espèces d’oiseaux aquatiques, le stockage et l’écoulement de grandes quantités d’eau et une production importante d’énergie à partir de la tourbe. Les milieux humides fournissent de la nourriture et un abri aux espèces sauvages, ralentissent l’érosion des sols et contribuent au processus naturel de purification de l’eau. Leur conservation est cruciale, particulièrement dans les écozones à plus forte densité démographique du sud du Canada.

Risques

Météorologiques – hydrologiques

Inondations carte du Canada montrant les zones inondables

Inondations majeures

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 9,45 Mo)

Cette carte illustre 260 inondations catastrophiques survenues entre 1902 et 2005. Les inondations font partie du cycle hydrologique naturel (les fluctuations saisonnières des niveaux d’eau) et se produisent le long des rivières et des cours d’eau au Canada chaque année. Les inondations constituent le risque naturel le plus répandu; l’on a estimé à 260 le nombre d’inondations qui se sont produites depuis 1900 et qui ont causé la mort de 235 personnes en plus d’engendrer des coûts de 8,7 milliards de dollars en dommages. Pour plus de renseignements sur les inondations, visitez :

Feux de forêt Carte du Canada montrant les zones de feux de forêt

Zones affectées par les feux de forêt 1980 - 2003

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 6,84 Mo)

Cette carte illustre les incendies de plus de 1000 hectares survenus entre 1980 et 2003. Les données sont une compilation de tous les emplacements ponctuels des incendies et des données sur le périmètre des feux couvrant plus de 1 000 hectares, tels que fournis par les organismes responsables de la gestion des feux des provinces et territoires ainsi que par Parcs Canada.

Avalanches Carte du Canada montrant les zones d'avalanches

Principales avalanches

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,63 Mo)

Cette carte illustre les principales avalanches ayant eu lieu entre 1906 (Rogers Pass) et 1999 (Kangiqsualujjuaq, Québec). Une avalanche est une masse de neige et de glace qui dévale une pente. Son déclenchement est fonction d’un seuil critique qui est atteint lorsque certaines conditions climatiques et topographiques sont réunies.

Tempêtes de grêle carte du Canada montrant les zones de tempête de grêle

Principales tempêtes de grêle

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,66 Mo)

Cette carte montre quelques-unes des principales tempêtes de grêle qui se sont produites au Canada depuis le début du 20e siècle à 1999. La grêle est une précipitation composée de granules de glace d’un diamètre égal ou supérieur à 5 millimètres. Les tempêtes de grêle peuvent survenir n’importe où au Canada. Elles ont lieu en particulier de mai à juillet, généralement pendant des tempêtes d’après-midi. Les tempêtes à gros grêlons provoquent des dégâts spectaculaires. Les tempêtes plus modestes survenant pendant la saison de croissance estivale provoquent de graves dégâts aux récoltes.

Ouragans Carte du Canada montrant les zones d'ouragans

Principaux ouragans qui ont affecté le Canada

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,70 Mo)

Cette carte montre quelques-uns des principaux ouragans qui ont affecté le Canada depuis le début du 20e siècle à 1999. Le terme « ouragan » est un des noms utilisés pour désigner une tempête tropicale dont les vents tournent, à une vitesse minimum de 120 kilomètres à l’heure, autour d’un centre de basse pression appelé « oeil ». Au centre du vortex d’un ouragan – l’œil – il y a une zone calme à ciel bleu. Autour de cette colonne centrale circulent de vents très forts accompagnés de pluies torrentielles. Une vaste zone autour du système est touchée par des vents violents et des pluies abondantes continues. C’est généralement cette zone externe qui touche les parties orientales du Canada de juin à novembre.

Tornades carte du Canada montrant les zones de tornade

Principales tornades

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,72 Mo)

Cette carte montre quelques-unes des tornades majeures qui se sont produites au Canada depuis le début du 20e siècle à 1999. Les tornades sont des colonnes d’air qui tournent sur elles-mêmes à grande vitesse. La zone touchée par leur passage mesure de 40 à 400 mètres de largeur et de 1,7 à 36 kilomètres de longueur. Les dégâts provoqués par le passage d’une tornade sont dus au vent ainsi qu’à la chute extrêmement rapide de la pression atmosphérique. Les tornades varient en intensité; celle-ci est mesurée au moyen de l’échelle de Fujita, ou F, qui est étalonnée de 0 à 5 selon l’intensité des dégâts. La plupart des tornades apparaissent d’avril à octobre; toutes les provinces y sont exposées.

Géologique

Tremblements de terre carte du Canada montrant les zones sismiques

Principaux tremblements de terre et aléas sismiques

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,50 Mo)

Cette carte montre les principaux tremblements de terre enregistrés au Canada jusqu’en 2006. Un tremblement de terre consiste en une rapide secousse de l’écorce terrestre qui résulte d’une soudaine libération d’énergie dans la Terre. En général, ce phénomène est attribuable à des déplacements en marge des plaques tectoniques qui constituent l’écorce terrestre. Chaque année, plus de 3500 tremblements de terre sont enregistrés au Canada ou près du pays, dont 50 perceptibles. Plus de la moitié des séismes au Canada surviennent le long de la côte Ouest. Le sud-est du pays et l’Arctique canadien connaissent aussi une activité sismique dispersée. L’importance d’un tremblement de terre est mesurée sur une échelle de magnitude et son intensité, sur l’échelle de Mercalli modifiée. Visitez le site Web Séismes Canada pour obtenir des renseignements à jour sur les tremblements de terre au Canada.

Télécharger les éditions précédentes :

Glissements de terrain carte du Canada montrant les zones de glissement de terrain

Principaux glissements de terrain causant des accidents mortels

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 7,48 Mo)

Cette carte représente 45 glissements de terrain survenus au Canada entre 1840 et 2006 et qui ont fait plus de 600 victimes. Un glissement de terrain est le déplacement vers le bas de matériaux géologiques sur un versant. Des glissements de terrain peuvent être observés dans toutes les régions du Canada, même aux endroits où il y a très peu de relief. Ils peuvent se produire dans le substratum rocheux ou dans des sédiments meubles, sur terre ou sous l’eau. Ils peuvent être gros ou petits, rapides ou lents et ils surviennent habituellement sans avertir.

Tsunamis carte du Canada montrant les zones de tsunami

Tsunamis

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 6,05 Mo)

Cette carte montre les sites où sont survenus les plus importants tsunamis au Canada ainsi que les séismes et les glissements de terrain qui ont causé un tsunami. Un tsunami est une vague océanique ou une série de vagues produites par d’importantes perturbations du plancher océanique dans un laps de temps relativement court. Ces perturbations provoquent le déplacement vertical de la colonne d’eau et l’énergie de la vague soulevée se répand à la surface de l’océan à grande vitesse. Bien que les tsunamis soient assez rares au Canada, ils se produisent à l’occasion et peuvent causer des dégâts considérables et entraîner des pertes de vie. Depuis le début du vingtième siècle, on a rapporté un tsunami environ tous les quinze à vingt ans au Canada.

Volcans carte du Canada montrant les zones volcaniques

Principaux volcans

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 8,80 Mo)

Cette carte montre les volcans principaux et les zones où il y a eu d’importantes accumulations de cendres volcaniques jusqu’en 1999. Tout le long de la Cordillère de la Colombie-Britannique et du Yukon, un grand nombre de volcans restent actifs d’un point de vue géologique. Des séismes récurrents sous nos pieds et de gigantesques montagnes nous rappellent que cette région du Canada est géologiquement active. La possibilité d’une éruption, et même d’une grosse éruption explosive, ne peut être écartée.

Météo spatiale

Zones d’activité géomagnétique carte du Canada montrant les zones d'activité géomagnétique

Météo spatiale – Zones d’activité géomagnétique

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 3,35 Mo)

Cette carte représente les zones d’activité géomagnétique au Canada. Le champ géomagnétique subit l’influence de l’environnement électromagnétique du système solaire. Les perturbations du milieu interplanétaire modifient les conditions de l’environnement électromagnétique naturel de notre planète, affectant ainsi le fonctionnement normal de l’infrastructure spatiale et des technologies au sol, par exemple les réseaux de distribution d’électricité et les pipelines. L’activité géomagnétique, ou la fréquence des variations du champ géomagnétique, varie selon la position géographique de l’observateur. Elle dépend de la géométrie du champ magnétique terrestre et de son interaction avec les particules chargées émises par le Soleil et les fluctuations du champ magnétique solaire ou interplanétaire. Le territoire canadien comporte trois zones d’activité géomagnétique : la calotte polaire (au nord de Cambridge Bay), la zone aurorale (entre Cambridge Bay et Meanook) et la zone sous aurorale (au sud de Meanook). C’est dans la zone aurorale que l’on observe l’activité géomagnétique la plus intense.

Zones d’activité tellurique carte du Canada montrant les zones d'activité tellurique

Météo spatiale – Activité tellurique

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 3,36 Mo)

Cette carte montre les zones d’activité tellurique au Canada. Le champ géomagnétique subit l’influence de l’environnement électromagnétique du système solaire. Les perturbations du milieu interplanétaire modifient les conditions de l’environnement électromagnétique naturel de notre planète, affectant ainsi le fonctionnement normal de l’infrastructure spatiale et des technologies au sol, par exemple les réseaux de distribution d’électricité et les pipelines. Les courants qui nuisent directement aux infrastructures vulnérables sont dictés par le champ géoélectrique (tellurique), lui-même induit par le champ géomagnétique. Sur la carte, l’activité tellurique est définie comme le pourcentage annuel du temps où les variations de l’activité dépassent le niveau normal de 20 millivolts au kilomètre.

Glace de mer

Prise en glace carte du Canada montrant l'englacement des zones de glace de mer

Date de la prise en glace

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,55 Mo)

Cette carte montre l’évolution typique de la couverture glacielle de la fin de l’été (mi-septembre) à la fin de l’hiver (mi-mars). Les dates qui apparaissent dans la légende de la carte indiquent l’étendue de la couverture glacielle à ces dates. Les glaces de mer comprennent toutes les formes de glace qui se trouvent dans la mer et qui se sont formées par le gel de l’eau de mer. La formation des glaces de mer débute à la mi-septembre dans l’Arctique canadien et progresse vers le sud dès le début de l’hiver. La glace de mer commence à se former dans l’estuaire du Saint-Laurent vers le 1er janvier et sa formation progresse jusqu’au golfe du Saint-Laurent. Au Canada, les glaces de mer atteignent normalement leur étendue maximale au début du mois de mars.

Débâcle de la glace de mer carte du Canada montrant la débâcle des zones de glace de mer

Date de la débâcle

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,85 Mo)

Cette carte montre le retrait typique de la couverture glacielle de la fin de l’hiver (mi-mars) jusqu’à la fin de l’été (mi-septembre) sur une base hebdomadaire. Les dates qui apparaissent dans la légende de la carte indiquent l’étendue de la couverture glacielle à ces dates. Les glaces de mer comprennent toutes les formes de glace qui se trouvent dans la mer et qui se sont formées par le gel de l’eau de mer. La fonte des glaces de mer débute au printemps dans le golfe du Saint-Laurent et à l’est de Terre-Neuve, et progresse en direction nord vers la côte du Labrador. En juin, il commence à se former des ouvertures dans la baie de Baffin et dans la mer de Beaufort, et la fonte des glaces est déjà en cours dans la baie d’Hudson. La débâcle se poursuit tout au long des mois d’été, et c’est vers la mi-septembre qu’il y a le moins de glace.

État de la glace de mer vers la fin de l’hiver Carte du Canada montrant les conditions de glace de mer à la fin de l'hiver

État de la glace de mer vers la fin de l’hiver

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 6,05 Mo)

Cette carte montre les différents types de glace de mer vers la fin de la saison hivernale (26 février) ainsi que la fréquence des glaces de mer à cette date. La fréquence des glaces de mer indique la fréquence à laquelle les glaces de mer ont été présentes le 26 février de 1969 à 1998. Les observations de l’étendue de la glace et des types de glace effectuées au cours des 30 dernières années ont permis de produire cette carte qui montre à quelle fréquence la glace de mer a été présente et quel type de glace est le plus susceptible d’être prédominant et à quel endroit. Les glaces de mer comprennent toutes les formes de glace qui se trouvent dans la mer et qui se sont formées par le gel de l’eau de mer. Le type de glace donne une indication de l’épaisseur de la glace de mer, comme la nouvelle glace, la glace grise, la glace blanchâtre, la glace de première année et la vieille glace.

État de la glace de mer vers la fin de l’été Carte du Canada montrant les conditions de glace de mer à la fin de l'été

État de la glace de mer vers la fin de l’été

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 5,58 Mo)

Cette carte montre les différents types de glace de mer à la fin de la saison de fonte estivale (10 septembre) ainsi que la fréquence des glaces de mer à cette date. La fréquence des glaces de mer indique la fréquence à laquelle les glaces de mer ont été présentes le 10 septembre de 1969 à 1998. Les observations de l’étendue de la glace et des types de glace effectuées au cours des 30 dernières années ont permis de produire cette carte qui montre à quelle fréquence la glace de mer a été présente et quel type de glace est le plus susceptible d’être prédominant et à quel endroit. Les glaces de mer comprennent toutes les formes de glace qui se trouvent dans la mer et qui se sont formées par le gel de l’eau de mer. Le type de glace donne une indication de l’épaisseur de la glace de mer, comme la nouvelle glace, la glace grise, la glace blanchâtre, la glace de première année et la vieille glace.

Télécharger les éditions précédentes :

Canada, Glace de mer. 5e édition, 1993 (PDF, 14.7 MB)

Espèces en péril

carte du Canada montrant les espèces en péril

Menaces pour les écosystèmes – Espèces à risque

Date de publication : 2010, 6e édition

Télécharger la carte (ZIP – PDF/JPG, 4,91 Mo)

Cette carte montre le nombre d’espèces en péril par écorégion. La plus grande menace pour la plupart des espèces est l’altération de leur habitat ou des conditions de croissance essentielles. Les espèces en péril comprennent les espèces indigènes de mammifères, d’oiseaux, de poissons, de reptiles, d’amphibiens, de plantes et de mollusques identifiées comme menacées d’extinction à l’échelle nationale. Pour obtenir plus de renseignements sur les permis, le financement et les consultations ainsi que des nouvelles sur le rétablissement, visitez : Espèces en péril.

Détails de la page

Date de modification :